Immeubles de logements

Marquées par le contexte industriel, les résidences d'Armenonville et de Marly  s’inscrivent dans le contexte d’aménagement du Grand Boulevard. Le Grand Boulevard se présente comme un tracé urbain en Y reliant Lille, Roubaix et Tourcoing. Un endroit prisé par la construction des maisons de la classe aisée.Construit en 1896, cet axe avait pour but de faciliter les déplacements entre les communes. L’urbanisation progressive des trois villes a provoqué la densification autour de cet axe.

Immeuble de rapport, le studio building a été conçu par Henri Sauvage dans le 16ème arrondissement de Paris à la fin des années 1920. Il constitue l'un des derniers immeubles de l'architecte, alors au sommet de sa notoriété. Ses façades sont constituées de grès et céramiques réalisées par l'entreprise Gentil & Bourdet.

Cette copropriété a été construite entre 1963 et 1966 sous l'impulsion de Joël Poilpré. Elle est constituée de 8 corps de bâtiments pour un total de 28 appartements, disposés sous la forme de plots. Elle est implantée dans un parc valonné et arboré, lui conférant une valeur paysagère certaine.

Modèle historique d’urbanisme social humaniste, la cité-jardin de Châtenay-Malabry a été conçue sous l’impulsion d’Henri Sellier, administrateur-délégué de l’Office des Habitations à Bon Marché de la Seine, puis membre du gouvernement du Front Populaire. La Butte Rouge est composée de 3 900 logements implantés dans un écrin de verdure de 70 hectares.

Implanté à Thionville en Lorraine, alors en pleine expansion industrielle après la Seconde Guerre mondiale, l’immeuble de logements l’Européen est réalisé entre 1961 et 1963 par l’architecte et urbaniste Lanfranco Virgili (1924-2018). Un demi-siècle après sa construction, au vu du vieillissement de la façade et de l’évolution des normes de confort, la copropriété s’interroge sur les moyens de rénover l’édifice et sa façade en particulier.

essai

Dès son arrivée à la tête de la municipalité de Bordeaux en 1946, Jacques Chaban-Delmas est confronté à l’état d’insalubrité d’un secteur situé en plein cœur de la ville : Mériadeck. Il décide en 1955 de faire table rase et de confier le projet d’un nouveau quartier à Jean Royer ; dix ans plus tard, Jean Willerval  et Paul Lagarde sont nommés urbanistes en chef.

Dès son arrivée à la tête de la municipalité de Bordeaux en 1946, Jacques Chaban-Delmas est confronté à l’état d’insalubrité d’un secteur situé en plein cœur de la ville : Mériadeck. Il décide en 1955 de faire table rase et de confier le projet d’un nouveau quartier à Jean Royer ; dix ans plus tard, Jean Willerval  et Paul Lagarde sont nommés urbanistes en chef.

Dès son arrivée à la tête de la municipalité de Bordeaux en 1946, Jacques Chaban-Delmas est confronté à l’état d’insalubrité d’un secteur situé en plein cœur de la ville : Mériadeck. Il décide en 1955 de faire table rase et de confier le projet d’un nouveau quartier à Jean Royer ; dix ans plus tard, Jean Willerval  et Paul Lagarde sont nommés urbanistes en chef.

Dès son arrivée à la tête de la municipalité de Bordeaux en 1946, Jacques Chaban-Delmas est confronté à l’état d’insalubrité d’un secteur situé en plein cœur de la ville : Mériadeck. Il décide en 1955 de faire table rase et de confier le projet d’un nouveau quartier à Jean Royer ; dix ans plus tard, Jean Willerval  et Paul Lagarde sont nommés urbanistes en chef.